Pourquoi la Team Conrad séduit-elle encore tant de lectrices alors que Jeremiah est, de loin, le meilleur choix ? Certes, Conrad a été le premier à s’intéresser à Belly, mais c’est Jeremiah qui est toujours resté à ses côtés, offrant son soutien sans jamais fuir ni la faire souffrir. Conrad, lui, joue souvent la carte de la victimisation et peine à exprimer ses émotions, tandis que Jeremiah rayonne de sincérité et de bienveillance. Malgré l’admiration de leurs parents pour le « fils parfait », c’est bien Jeremiah qui a fait preuve de la plus grande maturité. On limitera toutefois cette comparaison aux deux premières saisons : on sait bien que Jeremiah finira par commettre une erreur, et que la vraie instigatrice du chaos reste Belly, qui jongle avec les deux frères, quitte à briser une famille déjà éprouvée. Personnellement, j’espère la voir seule à la fin, et que Conrad et Jeremiah puissent chacun reconstruire leur vie, loin de ce triangle toxique et destructeur. Et vous, vous êtes plutôt Team Conrad ou Team Jeremiah ? Pensez-vous que Jeremiah ait « trompé » Belly en partant à Cabo alors qu’ils étaient techniquement séparés ?
Depuis les premiers épisodes de The Summer I Turned Pretty, un débat fait rage parmi les fans : Conrad ou Jeremiah ? Si de nombreuses lectrices restent fidèles à la « Team Conrad », Jeremiah s’impose pourtant comme le prétendant le plus fiable et le plus mature. Plongeons dans les raisons qui font de Jeremiah le choix de cœur… et de raison.
1. Le premier flirt n’est pas toujours le meilleur
Conrad, avec sa sensibilité torturée, a marqué le début de l’histoire en déclarant son intérêt pour Belly. Mais cette précocité est vite devenue source de pression : il se sent obligé de jouer les rôles de « grand frère protecteur » et d’amoureux, jusqu’à étouffer son propre bonheur.
Jeremiah, plus discret au départ, a su soutenir Belly sans conditions. Il ne cherchait pas à être le premier ; il voulait être le bon.
2. Sincérité vs victimisation
Conrad tombe souvent dans la victimisation : quand les choses se compliquent, il se replie sur lui-même, accumule rancœur et silences. Sa détresse captive, mais elle épuise.
Jeremiah, lui, incarne la bienveillance solaire : il communique, rassure et crée un climat de confiance. Il n’hésite pas à exprimer ses sentiments, sans drame inutile.
3. La maturité relationnelle
Bien que choyé par leurs parents comme « l’enfant parfait », Conrad n’a jamais vraiment assumé son rôle d’adulte amoureux. Ses incertitudes et son inconstance pèsent lourd.
Jeremiah, quant à lui, fait preuve d’une stabilité rassurante : il est toujours là, en soutien, prêt à faire des compromis pour préserver leur lien.
4. Les limites du triangle amoureux
Le vrai protagoniste problématique reste Belly, qui, malgré ses hésitations, joue avec les deux frères. Ce comportement a fragilisé une famille déjà meurtrie et créé un climat toxique.
À l’heure où Jeremiah commettra sans doute sa « faute » (saison 3 et plus), le véritable chaos est déjà installé par Belly elle-même.
Vers une fin plus logique
Belly seule : à la fin, voir Belly face à ses choix et aux conséquences de ses actions renforcerait le message de responsabilité.
Conrad et Jeremiah reconstruits : séparés de ce triangle, chacun pourrait rebâtir sa vie amoureuse et fraternelle, en se pardonnant mutuellement d’avoir laissé un seul tourmenter leur relation.
Questions ouvertes
Êtes-vous Team Conrad ou Team Jeremiah ?
Pensez-vous que Jeremiah ait « trompé » Belly en partant à Cabo alors qu’ils étaient techniquement séparés ?
Comment auriez-vous géré ce triangle amoureux ?
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